Menaces contre les médecins, nous ne laisserons pas faire !

2 Commentaires
  1. KAH 4 ans Il y a

    les médecins ne d=peuvent curieusement plus avoir de masques auprès des officines pharmac

  2. DOUHET 4 ans Il y a

    Bonjour MMarty, merci pour ce que vous faîtes pour essayer de sauver ce qui peut l’être de la profession.
    Je suis d’accord que c’est dur de recevoir des retours négatifs quand on exerce ce métier, à fortiori dans les conditions où on l’exerce actuellement, et que ces retours ne doivent en aucun cas prendre la forme de menaces, ni même d’avertissements.
    Cela dit j’ai la sensation que vous manquez de recul, et peut-être d’indépendance (bien indépendamment de votre volonté évidemment), vis à vis de la problématique évoquée.
    Et, à mon sens, ce n’est pas en disqualifiant ceux dont vous avez le ressenti qu’ils vous agressent que la solution peut se trouver.
    D’autant que, pour bon nombre des gens qui nous interpellent sur le sujet, l’intention n’est pas de nous nuire et de nous disqualifier, mais de nous alerter sur des dangers qu’ils perçoivent et que peut-être nous ne voyons pas.
    Hier je suis tombée à la fois sur votre post FB mentionnant le décret de trop et, au téléphone, sur le médecin co du chgériatrique de la ville où j’exerce qui me demandait de venir recueillir le consentement éclairé des patients que je suis, pour qu’ils soient vaccinés contre le SARS-coV2.
    Là M Marty, je ne peux m’empêcher de sentir que l’on me prend pour le guignol de service et que l’on compte se servir de moi pour faire quelque chose, au mieux, d’assez absurde, au pire, de franchement pervers.
    Et si j’en crois ce que vous dîtes du décret et ce que j’observe depuis le début de mon exercice et plus particulièrement depuis le début de cette crise, j’ai franchement l’impression de pouvoir être bientôt contrainte à faire tout ce que l’on me demande, quelque soit la valeur que cela a pour moi sur le plan moral, éthique, humain, scientifique et même médical, au risque sinon, d’être licenciée pour faute grave sans préavis ni recours.
    L’heure est vraiment grave et je crois que nous gagnerions du temps à essayer de comprendre ce que ces gens voient, pour trouver autour de quel bien commun nos visions ont probablement chacune leur place.
    Je serais intéressée d’échanger avec vous si comprendre mon point de vue vous intéresse.
    Cordialement
    Gaëlle Douhet

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